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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 08:11

lemonde 

Le Monde a publié le 28 mai une page entière (p.8), sous la signature de Pascale Kremer « envoyée spéciale » à Perpignan, consacrée aux « faux étudiants boursiers ». Nous ne nous étendrons pas sur la qualité journalistique de la dite page (anecdotisme, absence totale de données chiffrées, présentation lacunaire du système des bourses sur critères sociaux, stigmatisation, iconographie douteuse, confusionnisme, déficit de problématisation…). La section syndicale SNESUP-UPVD ne voulant pas s’engager d’emblée dans une polémique inopportune a demandé – en vain – la diffusion des données statistiques permettant de mieux cerner l’ampleur et la nature du phénomène et d’engager un débat constructif.

http://snesup-upvd.over-blog.org/article-upvd-a-propos-d-un-article-du-monde-118283919.html

C’est avant tout en termes de communication qu’il convient d’analyser la dite page – indépendamment de sa genèse (peu importe qu’il y ait eu ou non, à l’origine, une opération de com conçue comme telle mais mal maitrisée ou que ce soit dans le cours du reportage que certains membres de la communauté universitaire aient voulu faire passer un message personnel). Seule l’image du chef d’établissement en ressort renforcée (jeunesse, culture managériale, attachement au dire vrai, choix délibéré de solutions courageuses,…). Ç’aurait pu être le « top » si, dans la foulée, avaient été contrastés les dossiers problématiques (comme celui des « faux boursiers ») et les succès de l’UPVD avec des publics universitaires parfois difficiles – succès sanctionnés par de bons résultats dans divers classements de conception certes discutable mais qui traduisent néanmoins une certaine réalité. Grâce à l’UPVD, bon an mal an, il semblerait que l’ascenseur social ait  pu continuer à fonctionner en Pays Catalan.

Toute cette opération se révèle être malheureusement, en dernière instance, un flop total pour l’image de l’établissement. Si l’on se limite à la reprise du dit article par différents media et aux commentaires de blogs et de micro-trottoir, les dommages collatéraux paraissent considérables – y compris à l’étranger où les francophiles et les expats lisent régulièrement le Monde. Pour l’instant, silence radio du côté du bâtiment A : pas de mise au point officielle, pas de recours au droit de réponse, pas de publication de données statistiques…Le syndrome de l’autruche a la vie dure !

 

 

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 18:32

 

UOC

La comunitat UOC i en especial els més de 38.000 graduats estan presents en moltes parts del món. Aquesta eina social pretén fomentar l’esperit de comunitat i pertinença, afavorir la comunicació entre els diferents membres i ajudar a conèixer i establir contactes professionals i personals dins de la comunitat. L’aplicació UOC Maps està disponible gratuïtament per als dispositius mòbils tant de la plataforma Apple iOS com de Google Android.  Al mapa es pot  veure totes les persones de la comunitat que han donat permís perquè se’n mostri la geolocalització (només quan l’aplicació és oberta). També es pot  segmentar pels diferents perfils: alumni, estudiants, professors, col·laboradors docents, i altres membres de la comunitat. A més els usuaris podran comunicar amb qualsevol persona que ha donat permís per ser geolocalitzada mitjançant un correu electrònic a l’adreça de Campus o amb un sistema de missatgeria directa integrat en l’aplicació. Cal destacar que l’aplicació ofereix la possibilitat de regular el nivell de privadesa i de filtrar les cerques per tipus d’usuari. Aquesta eina vol afavorir la comunicació entre els diferents membres de la UOC i alhora fomentar l’esperit de comunitat.

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 09:19

 

Le dernier numéro du « Mag’ de l’UPVD » (n°8) nous apprend que notre établissement va désormais s’intéresser aux       «alumnis». Ce pluriel latin affublé de la marque du pluriel français a dû en surprendre plus d’un. Que l’on francise un mot latin ou étranger au singulier en lui appliquant un pluriel en -s , passe encore dixit Bescherelle mais là, c’est du lourd. Alors que l’on déclare à grand fracas que la clé de la nouvelle politique de l’établissement, c’est la communication, ce « s » surnuméraire risque de faire plutôt tache.

 

Pauvres anciens qui sont désormais l’objet d’une opération bureaucratique topdown, comme on dirait en novlangue - opération dont les modalités pourront paraître quelque peu déphasées par rapport ce qui se fait ailleurs en la matière (déficit de culture universitaire ? expérience insuffisante de mobilité à l’étranger ?…) Il aurait suffi, sans aller pour autant visiter une université anglo-saxonne, de franchir tout simplement la ligne bleue des Albères pour constater comment sont souvent mises en œuvre pour le développement des réseaux 3A (Amics i Antics Alumnes) des méthodologies plus originales (et efficaces…).

 

« C’est l’image de notre université qui est en jeu », affirme le Mag. Il ne croit pas si bien dire….

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 03:51

 

  Non, détrompez-vous, ce post n’est pas consacré à l’intérêt (ou au manque d’intérêt) de l’UPVD pour les sciences et techniques liées à l’exploitation de l’énergie éolienne. Il s’agit bien plutôt ici d’art, de grand art. D’un art qui tend peu à peu à devenir consubstantiel à l’institution – celui de brasser du vent  (et de gonfler des baudruches…).

Période électorale oblige (élections des conseils centraux et élection du nouveau président), les effets d’annonce se sont récemment multipliés – plus tonitruants les uns que les autres et toujours nimbés d’une autosatisfaction béate. Laissons de  côté les manipulations grossières comme le fait, dans une opération associant plusieurs établissements, de faire apparaître l’UPVD en premier en laissant entendre par là  qu’elle en est le chef de file alors qu’elle n’occupe au mieux qu’un strapontin (quand ce n’est pas un siège éjectable). Par contre revendiquer explicitement ou implicitement une expertise dans divers domaines pour lesquels il n’y a pas un seul enseignant-chercheur titulaire sur le campus perpignanais parait relever de l’escroquerie intellectuelle.

  Le gonflage et la manipulation des baudruches constituent un jeu subtil. Leurs créateurs sont parfois amenés, si elles deviennent trop gênantes, à les faire soudainement disparaître et ceux qui auraient la malencontreuse idée de rappeler leur éphémère existence se font tout simplement traiter de menteurs. Un exemple ? Le PRES Pyrénées Méditerranée soudain reconverti en « campus d’excellence » : il ne se serait, dit-on en haut lieu, jamais agi d’un PRES et ce terme aurait été utilisé à tort. Quid des conférences de presse, des discours officiels et des multiples publications qui lui ont été consacrés ces dernières années ? Comment se fait-il que sur les pages web consacrées au dernier dossier qui fait le buzz – le dossier d’IDEFI  MIRO – figure toujours l’intitulé « PRES Pyrénées Méditerranée » ? Ceux qui, fidèles à des exigences d’éthique ou tout simplement de rigueur intellectuelle, se risquent à analyser ces opérations - que certains, à tort ou à raison, considèreront comme de la désinformation caractérisée -  se font vertement tancer et accuser de vouloir la mort de l’Alma Mater.

   En des temps où l’ « excellence » est quotidiennement encensée, il y donc bien là au moins un domaine dans lequel l’UPVD se distingue tout particulièrement. Qu’on se le dise…

 

 

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 09:08

com ifct003

Les lecteurs de l’Indépendant du lundi 6 juin ont pu découvrir en page 8, entre deux publicités pour la Generali Solo 2011 et ReducAvenue, un grand encart (publicitaire ? payant ?) à l’en-tête de l’UPVD. A la différence de l’affichette diffusée par l’IEC (cf. notre post du 5 juin), point d’ambigüité : un chapeau précise que « L’UFR STHI et l’IFCT s’associent et proposent des formations post bac pour l’année 2011-2012 ». Cela a tout l’air d’une opération officielle du Service de la Communication, avec des informations validées par le responsable de la D.E.P. Mais est-ce vraiment le cas ?

Un doute commence à s’installer dès la première ligne

-          Il y est question d’une « licence pluridisciplinaire » alors qu’il semblerait que le CNESER ait en fait habilité une spécialité de la mention LLCER (Langues Littératures et Civilisations Etrangères et Régionales)

-          Il est à nouveau question d’une « licence de Tourisme » (avec quelle habilitation ?) qui serait, à première vue, sélective – puisqu’il est fait mention d’une « priorité » accordée aux catalanisants de 2e année (quid de l’interdiction de la sélection au niveau L – en dehors des licences professionnelles ?)

Les Masters sont miraculeusement passés de six à quatre – sans que soit précisé s’il s’agit de mentions, de spécialités ou de simples parcours. Et les malheureux sociologues, qui avaient accepté bien des compromis pour conserver un semblant de master, passent à la trappe du Père Ubu : « Mobilités et Altérités » disparaissent de la spécialité Recherche.

L’alinéa « Débouchés possibles », en forme d’inventaire à la Prévert, est du style miroir aux alouettes. Ces formations sont censées ouvrir toutes les portes : « enseignement, médias, publicité, tourisme, hôtellerie,…. » ; mais que pèsent exactement ces formations par rapport à d’autres formations plus spécialisées et mieux ciblées ? Quels en sont les résultats – qualitatifs et quantitatifs – en matière d’insertion professionnelle pour les quatre années du précédent plan quadriennal ?

Ce n’est plus de l’information destinée à l’orientation des futurs bacheliers mais cela ressemble plutôt à  une mauvaise publicité racoleuse ….

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5 juin 2011 7 05 /06 /juin /2011 16:23

ifct-1105-250

La délégation de Perpignan de l’I.E.C. (Institut d’Estudis Catalans), hébergée dans l’aile droite de la Casa dels Països Catalans de l’Université de Perpignan, a diffusé récemment par mail à un certain nombre d’acteurs des secteurs culturel, éducatif et de l’information, une affichette de couleur jaune, rédigée en catalan, à l’en-tête de l’UPVD, présentant une offre de formation de huit diplômes. Premier étonnement : en principe, ce type de communication est exclusivement assuré soit par le Service de la Communication, soit par le SCUIO – qui vérifient en amont, plutôt deux fois qu’une, les informations à diffuser. Dans un autre message, l’IEC précise qu’il ne fait que relayer la communication de l’IFCT (Institut Franco-Catalan Transfrontalier). Nouvelles questions : pourquoi ce document n’est-il pas à l’en-tête de l’IFCT et pourquoi renvoie-t-il à deux « départements » - de Tourisme et de Catalan ? Cela voudrait-il dire que la Faculté STHI a déjà été démantelée et que sa filière tourisme a été intégrée à l’IFCT ? Certes, cette éventualité a été évoquée à plusieurs  reprises ; mais alors, quand les conseils centraux ont-ils donc voté la mise en œuvre de cette restructuration, dans quelles conditions les transferts de personnel ont-ils été effectués et qui a décidé du nouvel organigramme  qui rend caduques les statuts de l’IFCT et la composition de son conseil d’administration (ce qui impliquerait par ailleurs un autre vote des conseils centraux et de nouvelles élections) ?. Décidemment, tout cela fait quelque peu désordre….

Mais ce n’est pas tout ! Le document annonce une licence pluridisciplinaire ETC (Etudes Transfrontalières et Catalanes) composée de…deux licences (Catalan et Tourisme). Le document officiel soumis par le Ministère au vote du CNESER mentionnait pourtant d’une part une Licence Domaine Arts Lettres Langues Mention Langues Littératures et Civilisations Etrangères et Régionales avec trois Spécialités – Anglais, Espagnol et Etudes transfrontalières et catalanes -  et d’autre part, en ce qui concerne le Tourisme, précisait bien « L’Université retire cette mention. Le tourisme devient un parcours d’une spécialité de la mention LLCER ». Ajoutons l’étonnement de la plupart des membres de l’équipe pédagogique laissés, semble-t-il, à l’écart de ces grandes manœuvres.

La  cerise sur le gâteau, ce sont les Masters : « També tenim 6 màsters ». Mais dans le document CNESER n’apparaissent qu’un Master mention Education et Formation et un Master mention Etudes Européennes et Internationales avec trois spécialités – deux spécialités pro (Relations Transfrontalières et Tourisme-Hôtellerie) et une seule spécialité recherche (Etudes Catalanes Mobilités et Altérités).

 

 (à suivre)  

         

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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 17:24

UdA1

Depuis quelque temps, les universités se sont mises à  changer de nom – souvent accompagnées par des agences de communication, comme Paris 12 qui a confié un budget de 80000 euros à Campus Communication pour imposer sa nouvelle identité « UPEC ». Après la mode des grands hommes (Louis Pasteur, Blaise Pascal, Paul Valery, Claude Bernard…), certaines jouent désormais l’ancrage territorial, comme l’ « UdA »  (= Université d’Auvergne ex Clermont-Ferrand 1) « premier fabricant de professionnels en Auvergne ».

Les universités sont donc bien entrées dans une logique de marque – même si elles n’ont encore que rarement travaillé leur identité. Et voilà que déjà d’autres marques arrivent sur le marché – celles des Pôles de Recherche et d’Enseignement Supérieur (P.R.E.S.) – souvent dans la plus grande confusion : « UMSF », est-ce la « marque » de la structure qui doit émerger de la fusion des trois universités montpelliéraines, celle du P.R.E.S. qui leur associe une dizaine d’autres entités (écoles d’ingénieurs, instituts de recherche…) ou celle d’une future « université fédérale » qui intégrerait la totalité des institutions d’enseignement supérieur et de recherche scientifique du Languedoc-Roussillon ?

Le Ministère n’a pas pour l’instant officialisé tous les changements de nom intervenus ces dernières années dans cette guerre des marques : il attend probablement de compter les morts (n’a-t-on pas déjà, à plusieurs reprises, évoqué l’éventualité de la disparition de Pau et de Perpignan – pardon, logique de marque oblige, de l’UPVD…..)

 

      

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2 janvier 2011 7 02 /01 /janvier /2011 05:16

portalcat

 

2010 : activitat del portal PORTALCAT 

(amb els dos blocs exteriors associats)

 

Visitants : 3557    Pagines vistes : 6937     Posts publicats : 64

 

   

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 18:07

 engega

La revista i el bloc Engega constitueixen un instrument de divulgació imprescindible de la feina que es fa a la Universitat de Girona. Cal dir que el desfasament entre les  universitats de Girona i de Perpinyà és brutal – amb una política gironina de comunicacio institucional d’alta qualitat al servei d’una visio estratègica  enfocada sobre l’accessió al CEI (Campus d’Excel·lència Internacional).

La revista existeix en versió  paper i en versió electrònica

http://www.udg.edu/EngegaUdG/Numeroactual/tabid/12153/language/en-US/Default.aspx

El bloc http://engega.wordpress.com/ té tot un conjunt d’enllaços de blocs de membres de la comunitat universitària gironina

Una novetat : ara Engega és disponible a la plataforma Issuu

http://issuu.com/univgirona/docs/engega_15?viewMode=magazine

     

 

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24 juin 2010 4 24 /06 /juin /2010 05:16

UMSF2

Le PRES Université de Montpellier-Sud de France a récemment mis en ligne un site Internet doté d'une télévision baptisée PRES'TV. Ce site diffuse chaque semaine deux ou trois nouveaux reportages. À ce jour, le site compte une cinquantaine de vidéos et est divisé en trois rubriques (missions du PRES, vie universitaire, Opération campus). « Il s'agit pour nous de valoriser l'offre de formation et de présenter à chacune des composantes le travail de l'autre car les universités de Montpellier doivent fusionner en 2012. Nous nous attachons également à diffuser beaucoup de reportages ayant trait à la diffusion de la culture scientifique et technique », précise Christophe Dumazer, responsable de PRES’TV . Cette Web TV emploie quatre personnes, dont trois à temps partiel.  La rédaction travaille par ailleurs à une version anglaise, dans un premier temps, et espagnole, dans un second temps « Nous prévoyons le sous-titrage en anglais de nos reportages dès cet automne. »
http://www.pres-univ-montp.fr/prestv/prestv.php

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