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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 17:04

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Del 3 al 31 de març de 2011 es duran a terme les jornades “Coneix la recerca que es fa a l'EPS”, en què  investigadors dels difererents Grups de Recerca de l'Escola Politècnica Superior presentaran els projectes que desenvolupen

 

Dijous 3 de març de 2011 de 12:15 a 14h. a la Sala d’Actes P-I

- 1a presentació: Què en podem fer de l’aigua de les depuradores? a càrrec dels professors J. Puig-Bargués, del grup de recerca Enginyeria i Gestió del Reg (Enginyeria Agrària)

- 2a presentació: Els aliatges amb memòria de… forma, a càrrec de Joan Josep Suñol i M. Lluïsa Escoda, del Departament de Física.

- 3a presentació: Virtualitat Real? Geometria Virtual? Realitat Computacional?, a càrrec de Gustavo Patow , del grup de recerca Grup de Geometria i Gràfics

- 4a presentació: Activitats del GREFEMA (Grup de recerca en Enginyeria de Fluids, Energia i Medi Ambient), a càrrec de Josep Arnau , del grup de recerca GREFEMA

Dijous 10 de març de 2011 de 12:15 a 14h. a la Sala d’Actes P-IV

- 1a presentació: Realitat Augmentada en Sistemes de e-learning, a càrrec de Ramon Fabrebat, del Grup de recerca Comunicacions i Sistemes Distribuits

- 2a presentació: Simulació de l’impacte en estructures de materials compostos de matriu polimèrica, a càrrec de Emili González, del grup de recerca AMADE

- 3a conferència: Robots al laboratori de química o el laboratori dins d’un robot, a càrrec de Florencio de la Torre, del grup de recerca Metalls i Medi Ambient

-4a conferència: Xarxes Socials i Preservació Digital , a càrrec de Josep Lluís de la Rosa, del grup de recerca ARLab-Centre EASY

Dijous 17 de març de 2011 de 12:15 a 14h. a la Sala d’Actes P-I

- 1a presentació: Ordinador: ajuda’m a detectar un càncer! , a càrrec de Jordi Freixenet, del grup de recerca VICOROB

- 2a presentació: Com funciona l’ACME, a càrrec de Jordi Poch, Ferran Prados i Josep Soler del grup de recerca projecte ACME

- 3a presentació: Interfícies hàptiques i la seva aplicació al disseny de producte, a càrrec de Xavier Espinach, del grup de recerca PRODIS

-4a presentació: Monitorització Mediambiental mitjançant un robot submarí autònom, a càrrec de Rafael García, del grup de recerca VICOROB

Dijous 24 de març de 2011 de 12:15 a 14h. a la Sala d’Actes P-I

- 1a presentació: Gestió energètica d’una instal·lació de climatització geotèrmica, a càrrec de Antoni Marquez, del grup de recerca GREFEMA

- 2a presentació: Explotació de dades per monitorització i suport a la presa de decisions, a càrrec de Joaquim Melèndez, del grup de recerca eXIT, Enginyeria de Control i Sistemes Intel·ligents

- 3a presentació: Creativitat i disseny de producte, a càrrec de Fernando Juliàn, del grup de recerca PRODIS

- 4a presentació: El comerç formal e informal com a creador de ciutat, a càrrec de Nadia Fava, del grup de recerca Arquitectura i Territori

Dijous 31 de març de 2011 de 12:15 a 14h. a la Sala d’Actes P-I

- 1a presentació: Residus de raïm per eliminar crom, a càrrec de Núria Fiol, del grup de recerca Metalls i Medi Ambient

- 2a presentació: Espacio urbano i habitabilida, a càrrec de Maria Pia Fontana, del grup de recerca Arquitectura i Territori

- 3a presentació: La programació de projectes 2.0: de l’enginyeria i la seva didàctica en un context gràfic (el fractal de Sierpinski…) amb les noves tecnologies (metodologia PEPA…) al projecte Literatura 2.0, a càrrec de Josep Tarrés, professor de gestió de projectes del departament d’arquitectura i enginyeria de la construcció

- 4a presentació: Obtenció de capes primes d’òxids per a cintes superconductores, a càrrec de Pere Roura i Jordi Farjas del grup de recerca en Materials i Termodinàmica (GRMT)

 

 

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 11:11

ubu1

Ubu s’est définitivement installé à l’UPVD qu’il a trouvé fort à son goût et où il règne désormais en imperator. La dernière grande trouvaille ubuesque est la Licence ETCetera : une Licence de Catalan tout en étant une Licence de Tourisme sans être vraiment une Licence de Catalan – puisque la maîtrise de la langue catalane n’est plus requise – tout en étant bien d’autres choses. Pourquoi la catalanistique n’aurait-elle pas droit, elle aussi, au parapluie-seringue du Docteur Thanaton ? Ubu adore avoir l’exclusivité : la Licence L.E.A. de la Faculté de Lettres sera donc  privée de catalan pour tuer dans l’œuf toute velléité de concurrence. C’est une véritable « renaissance » (sic) (les pères de la Renaixença doivent déjà se retourner dans leur tombe) que nous promet l’Ordre de la Grande Gidouille dorénavant domicilié dans les locaux de l’i7 (qui a dit qu’Ubu n’aimait pas les acronymes) ex IFCT.

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 12:41

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Indignation réelle – ou feinte – de la direction de l’UPVD et de ses conseils centraux : on a osé parler, au niveau national, de la « disparition de l’UPVD »…. Le point de départ de l’incendie est un texte du secrétariat national du syndicat SNESUP-FSU relatif à la politique ministérielle de restructuration accélérée du tissu universitaire. Ce texte évoquait le risque de voir disparaître à terme des établissements, comme les universités de Pau et de Perpignan, écrasés par les géants métropolitains voisins. Mais buzz oblige, l’A.E.F. – l’agence nationale d’information sur le système éducatif – a relayé (dépêche n°144884 du 3 février) la déclaration comme une évidence. Et tous en chœur de s’indigner – même si, chacun de son côté, on coopère plus ou moins discrètement avec Montpellier lorsqu’il est question de gros budgets ou de pouvoir, comme avec l’Initiative d’Excellence » (IDEX) (voir notre post du 22 janvier) ou Polytech EnR, tout en faisant mine, pour sauver les apparences, de claquer la porte du PRES UMSF (Université de Montpellier Sud de France).

Et pourtant… ! La fusion est déjà en cours à Aix-Marseille, à Montpellier on y va cahin-caha, Bordeaux vient d’annoncer le lancement de l’opération et Toulouse affiche un projet d’ « université fédérale » à la californienne. Quatre mastodontes vont très probablement émerger de ce processus encouragé sinon suscité par le Ministère. Que vont alors peser Pau, Perpignan, Nîmes ou Avignon ? Pas grand-chose pour ne pas dire rien. Une litanie incantatoire nous promet des jours meilleurs grâce au « transfrontalier ». Il semblerait que ce soit en train d’arriver du côté de  la frontière italienne (voir notre post du 4 juillet 2009) ; mais Nice, avec le potentiel scientifique et économique de Sophia Antipolis, flanquée de Toulon et de Corte, c’est quand même autre chose que la seule UPVD  ( pardon, associée au Laboratoire Arago de Banyuls et à l’Université d’Andorre), adossée à un territoire économiquement sinistré et rongé par le clientélisme.

Il aurait peut-être fallu, quand il en était encore temps, montrer un peu plus d’audace et de créativité, en envisageant par exemple un projet d’université fédérale des Pyrénées ou une Université Via Domitia des Pyrénées à la Provence (en récupérant éventuellement au passage des dissidents montpelliérains). Tout cela impliquait d’accepter de prendre le risque d’un partage du  pouvoir et, surtout, d’organiser un véritable débat au sein de la communauté universitaire perpignanaise. S’ il ne reste plus désormais, semble-t-il, que la carte transfrontalière, il faut alors jouer le jeu de la diversité, de la cohérence et du réalisme - de la diversité des initiatives encouragées et accompagnées sans chercher à tout verrouiller (comme c’est malheureusement le cas actuellement), de la cohérence en évitant de prendre des décisions contreproductives comme dans le cas des études catalanes (cf. post du 2 février), et du réalisme  en donnant la priorité à une territorialisation limitée à l’Eurodistrict Girona-Perpignan au lieu de rêver à des châteaux en Espagne, des Baléares à Lleida en passant par Tarragona. Avant qu’il ne soit trop tard….

 

 

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 06:52

upvd retolbil

Une intervention du mouvement associatif catalan, notamment au travers de la Federació per la Defensa de la Llengua i de la Cultura Catalanes, a rapidement provoqué une réaction en chaine et un buzz dans tout l’espace catalan, la blogosphère et les réseaux sociaux. Cette intervention portait essentiellement sur deux dossiers – l’absence de préparation au CAPES de catalan et la suppression d’un diplôme (DUEC). La Présidence de l’Université a donc multiplié ses interventions publiques pour tenter de désamorcer le conflit et affirmer sa forte implication dans ce qu’elle a présenté comme sa politique pan-catalane.

Tout cela semble avoir occulté, pour l’instant, un certain nombre de problèmes majeurs qui pourraient pourtant mettre en péril à terme l’existence même des Etudes Catalanes à l’UPVD. Nous nous limiterons, dans le présent post, à attirer l’attention sur cinq d’entre eux, en laissant le soin aux spécialistes d’analyser ultérieurement dans le détail chacun de ces dossiers.

1)..La Licence de Catalan parait menacée dans le cadre de l’actuelle campagne d’habilitations associée à la mise en place du nouveau plan quadriennal. Le dossier serait l’un des rares à ne pas avoir reçu d’emblée un avis favorable et serait donc en navette. Impossible, pour l’instant, d’en savoir davantage et d’avoir accès aux documents – et silence radio de la direction. Si une négociation avec le Ministère ne permettait pas de sauver ce diplôme, il n’y aurait plus de Licence de Catalan à Perpignan à la rentrée.

2)..L’actuelle Faculté de STHI (Tourisme+Sports), dans la perspective de son éclatement programmé, est en train de mener, avec la bénédiction de la Présidence, une véritable OPA sur les structures de l’IFCT. C’est le Doyen de cette Faculté qui dirige désormais, en qualité d’administrateur provisoire, ce que certains considéraient naïvement comme la « Faculté de Catalan ». La nouvelle stratégie de l’UPVD a été présentée comme le « développement d’une synergie entre Etudes Catalanes et Tourisme ». Désormais, hors du tourisme point de salut pour le catalan ! (tous ceux qui ont combattu ces dernières décennies la touristification massive de la Catalogne du Nord apprécieront…). Il paraîtrait même que ce mariage de la carpe et du lapin en a étonné  plus d’un à Paris. L’hybride issu de cette manipulation serait un « Institut Catalan des Etudes Transfrontalières et de Tourisme » (exit l’IFCT) [source : document officiel UPVD Plan Quadriennal de Développement 2011-2014 pp. 15-18] 

3)..Les Etudes Catalanes qui ont lutté pendant des années pour atteindre une certaine masse critique d’enseignants-chercheurs ont récemment perdu deux postes de Maîtres de Conférences, redéployés par la direction de l’UPVD

4)..La bibliothèque créée dans le cadre de la Maison des Pays Catalans demeure désespérément fermée depuis l’été dernier, faute de personnel qualifié. Il serait même question de la rapatrier sur le site central de la bibliothèque universitaire, où elle risque fort d’être éclatée (comme c’est déjà le cas pour une partie des ouvrages concernant l’histoire catalane) et éventuellement « désherbée » (les plus menacés étant les nombreux ouvrages en souffrance dans les magasins de stockage, en attente de catalogage)

5)..Enfin, l’équipe pédagogique a été officiellement avertie qu’elle bénéficiait d’un « sursis » de un an pour faire progresser les inscriptions ; sinon, elle n’échapperait pas aux coupes sombres tous azimuts qui se précisent à l’horizon du nouveau plan quadriennal, dans une logique purement comptable basée sur les effectifs

Bien sûr, l’UPVD s’est lancée dans la construction de châteaux en Espagne (comme le PRES Pyrénées Méditerranée) et dans le montage de multiples projets « transfrontaliers » (qui  semblent surtout servir à récupérer des subventions européennes). Il y a là une confusion permanente entre « transfrontalier » et « catalanistique » ; certes les deux se recoupent partiellement mais une mosaïque d’initiatives transfrontalières (qui se font souvent en français, en castillan…ou en anglais) ne remplacera jamais un cursus spécialisé complet d’Etudes Catalanes. Certains en viennent même à souhaiter que la catalanistique réintègre la Faculté de Lettres au sein de laquelle elle pourrait s’épanouir en interaction avec d’autres départements de lettres et de sciences humaines – au lieu d’être ghettoïsée - et loin d’enjeux territoriaux, immobiliers, financiers et, en dernière instance, de pouvoir qui compromettent son avenir .

 

 

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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 17:54

 

cahiers eur ss

Une nouvelle revue vient d’être créée associant les jeunes éditions Talaia à l’Université de Perpignan Via Domitia – et plus particulièrement l’Institut Catalan de Recherche en Sciences Sociales (ICRESS) et la Faculté S.T.H.I. (Sports-Tourisme) : « Les Cahiers Européens des Sciences Sociales ». On pourra tout d’abord s’étonner du fait que cette initiative n’ait pas été portée par le service d’édition officiel de l’Université, les Presses Universitaires de Perpignan. Le premier numéro a par ailleurs, Europe oblige, était imprimé en Bulgarie (les professionnels roussillonnais apprécieront…). Mais la plus grande surprise que réserve cette revue, ce sont ses choix linguistiques. Ce premier numéro, même si les contributeurs sont presque tous de l’UdG (Universitat de Girona), est majoritairement rédigé en… castillan (le reste étant en français, sans une seule ligne de catalan). Ce qui prouve, une fois de plus, que l’on peut faire du « transfrontalier » en se passant totalement du catalan et que les activités développées au sein de l’ICRESS – qui occupe une bonne partie de la Casa dels Països Catalans du campus perpignanais – paraissent prendre un tour pour le moins surprenant.

 

 

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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 11:10

IDEX1

Une récente polémique dans la presse locale a concerné l’absence de l’UPVD dans le dossier IDEX  (« Initiative d’Excellence ») porté par les trois universités montpelliéraines dans le cadre de la distribution de la manne du « Grand Emprunt » - dossier fortement soutenu par le Conseil Régional du Languedoc-Roussillon  et son nouveau président.

La lecture du document définitif « Projet d’Initiative d’Excellence Montpellier Sud de France » (91 p.)  réserve quelques surprises. L’UPVD est bien présente dans ce dossier – parmi les multiples organismes de la région qui sont « associés » aux universités  montpelliéraines et au travers  de structures perpignanaises comme PROMES, CARTECH ou DERBI (annexion du potentiel perpignanais qui permet aux montpelliérains d’afficher un Labex Solaire et  un IEED ThemiSol) ; dans l’annexe budgétaire, l’UPVD apparaît d’ailleurs comme apportant sa contribution financière à l’IDEX . A  la différence de l’IDEX grenoblois dans lequel la petite Université de Savoie est partenaire à part entière, l’UPVD n’a même pas un strapontin…

Cette présence  a cependant un prix. …Elle s’accompagne d’une démarche intégrative, certes le plus souvent limitée dans un premier temps aux seules composantes participant à l’IDEX mais susceptible de s’étendre à l’ensemble des établissements  (service unique pour les mobilités , centralisation des relations internationales, etc…). Mais surtout, la participation à ce dossier IDEX implique obligatoirement une participation à la création d’une « Université Fédérale » régionale. Plusieurs passages du texte lui sont consacrés  ; citons, à titre d’exemple , la page 45 « Dans le cadre du projet d’Initiative d’Excellence, les cinq Universités de l’académie, ainsi que les Écoles et Organismes Nationaux de Recherche impliqués dans ce projet, souhaitent donc s’inscrire résolument dans une démarche de structuration innovante en créant l’Université Montpellier Sud de France (UMSF) ».

Comment se fait-il qu’une information de cette importance n’ait fait l’objet d’aucune diffusion au sein de l’ensemble de la communauté universitaire perpignanaise et par là même d’aucune discussion ?...Que penser du silence radio des élus catalans (Conseil Général, Agglo, Conseil Régional) et des politiques déjà en campagne ?

 

(téléchargement  du rapport final

http://www.lmgc.univ-montp2.fr/~canadas/Idex/

(20 Mo)

 

 

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 03:11

dret

La segona trobada Oxford-Girona de filosofia del dret representa la consolidació d’un intercanvi de coneixement entre dues tradicions del dret que, cada cop, s’acosten una mica més.

Al món hi ha dues grans tradicions judicials, dos models diferents que es formalitzen en el procedir del jutge. Una és l’anglosaxona, en què les decisions del magistrat creen jurisprudència i, l’altra, la continental, en què aquest aplica la legislació existent. Però la globalització fa que els punts de contacte entre ambdues tradicions augmentin cada cop més i, per tant, que la necessitat d’intercanviar coneixement entre una i altra realitat esdevingui una qüestió cabdal en un procés de convergència que sembla inevitable.

 

UdG i Oxford referents internacionals 

Amb aquest objectiu experts en filosofia del dret de les universitats de Girona i d’Oxford organitzen, per segon cop (l’anterior es va dur a terme a Anglaterra), una trobada en què es debatran els aspectes més rellevants del contacte entre ambdues tradicions. Més enllà de la jornada de treball, els organitzadors consideren imprescindible l’establiment d’un contacte permanent entre la universitat catalana i l’anglesa, perquè han esdevingut referents internacionals en els seus respectius àmbits d’actuació. “Volíem tenir un fòrum permanent de contacte, més enllà dels intercanvis docents habituals”, explica Jordi Ferrer, investigador principal del Grup de Recerca en Filosofia del Dret i director de la Càtedra de Cultura Jurídica de la UdG.

Des de l’organització es confirma que les expectatives de participació han estat superades amb escreix i que hi haurà ponències, no només de professors d’ambdues universitats, sinó també d’italianes i d’americanes. El model de sessió, que tindrà lloc el 28 de gener, combina la participació d’experts de reconegut renom internacional amb joves promeses de la filosofia del dret, que debatran sobre els models i els límits de la funció judicial.

 

(f. Engega)

 

 

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2 janvier 2011 7 02 /01 /janvier /2011 05:16

portalcat

 

2010 : activitat del portal PORTALCAT 

(amb els dos blocs exteriors associats)

 

Visitants : 3557    Pagines vistes : 6937     Posts publicats : 64

 

   

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 18:07

 engega

La revista i el bloc Engega constitueixen un instrument de divulgació imprescindible de la feina que es fa a la Universitat de Girona. Cal dir que el desfasament entre les  universitats de Girona i de Perpinyà és brutal – amb una política gironina de comunicacio institucional d’alta qualitat al servei d’una visio estratègica  enfocada sobre l’accessió al CEI (Campus d’Excel·lència Internacional).

La revista existeix en versió  paper i en versió electrònica

http://www.udg.edu/EngegaUdG/Numeroactual/tabid/12153/language/en-US/Default.aspx

El bloc http://engega.wordpress.com/ té tot un conjunt d’enllaços de blocs de membres de la comunitat universitària gironina

Una novetat : ara Engega és disponible a la plataforma Issuu

http://issuu.com/univgirona/docs/engega_15?viewMode=magazine

     

 

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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 19:13

pup1

En début d’année, nous avons publié un post (Un nouveau-né : le P.U.P. – 17/02/2010) pour attirer l’attention sur ce « nouveau concept » ministériel. Entretemps, l’idée semble avoir fait son chemin et le 26 octobre, Valérie Pecresse a déclaré à l’Assemblée Nationale  

"En même temps que nous cherchons à faire émerger des pôles universitaires à visibilité mondiale, nous souhaitons consolider les pôles universitaires de proximité – P.U.P. Nous travaillons ainsi à la mise en place d’un premier cycle universitaire fondamental qui réunirait les classes préparatoires, les classes de BTS, les IUT, les licences, jusqu’à la licence professionnelle, et aurait vocation à dynamiser l’enseignement supérieur dans les villes moyennes. C’est toute la logique de l’expérimentation en cours avec les BTS, du plan de sauvegarde et de développement des IUT, du plan de développement des licences professionnelles, de la création de classes préparatoires dans des villes qui jusqu’à présent n’en avaient pas. Nous avons besoin de ces pôles de proximité, qui seront des pôles de professionnalisation et devront travailler en réseau avec les grands centres universitaires régionaux, dont ils seront une émanation. Nous travaillons à l’élaboration des schémas universitaires régionaux avec les conseils régionaux, les préfets et les recteurs. Nous espérons pouvoir vous en rendre compte d’ici à la fin de l’année."
On ne saurait être plus clair : enseignement supérieur à deux sinon trois vitesses, résurrection de la carte universitaire, secondarisation du premier cycle, implication financière massive des collectivités territoriales,  retour à la case départ des collèges/centres universitaires – ou pire – pour un certain nombre de « petites universités »  (et dans un tel contexte, sa politique  multisites opportuniste  ne risque-t-elle  pas de se retourner contre l’UPVD ?)




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